Bioéthique

La science négatrice ouvre la voie à l’Antéchrist | Jésus à Maria Valtorta
Maria Valtorta.
De Jésus.
Peu nombreuses les choses que je condamne.
Nier le surnaturel.
Désacraliser (renier le caractère sacré) tue la foi, ouvre la porte à Satan.
Tuer Dieu, ceci prépare à des temps durs, des nuits obscures, des foudres sur notre tête.

Retour des lois bioéthiques à l’Assemblée nationale: un calendrier « indécent » pour Tugdual Derville
Quand aurons-nous de l’amour pour le plus petit, pour le différent ? Le respect de la vie du début à la fin. Le monde ira beaucoup mieux.

Droit à la PMA-GPA pour tous les zoophiles !
Pierre Cassen, un gauchiste, il n’est pas croyant.
Alors intéressant
PMA GPA
Année 70 il fallait pleins de sex sans enfant, à présent il faut des enfants sans sex.
Familles déglinguées, vive la liberté, vive le féminisme, vive la révolution végane, discours animaliste.
Pierre Cassen et son humour noir, c’est un gauchiste athée.

Docteur Alexandra Henrion-Caude : Première chercheuse sur la PMA
Préparation des lois de la PMA en France – Aletia

30 déc. 2020
Sur le fond, nos sociétés occidentales éthiquement à la dérive auraient urgemment besoin d’entendre beaucoup plus fort ce type de voix de sagesse scientifique ! Un Mgr Aupetit, archevêque de Paris et ex médecin, a parlé aussi de ces folles dérives dans les médias.

28 déc. 2020
la république s’apprête avec sa future loi bioéthique, à autoriser les recherches sur l’embryon humain, à les libérer sur les cellules souches issues de ces embryons ainsi que sur les cellules souches pluripotentes induites humaines, ces cellules qui ne proviennent pas d’un embryon et qui sont capables de se multiplier indéfiniment et de se différencier en tous les types de cellules qui composent l’organisme. Cette loi ne manquera pas d’être adoptée afin de « supprimer les contraintes infondées qui pèsent sur la recherche recourant à certaines cellules ».

Elle favorise aussi la recherche sur le génome en permettant l’examen des caractéristiques génétiques d’une personne à des fins de recherche scientifique à partir d’éléments du corps de cette personne prélevés à d’autres fins, lorsque cette personne, n’aura pas exprimé son opposition. C’est dans ce même cadre que la république s’apprête aussi à allonger de deux semaines le délai légal pour avoir recours à l’IVG afin de le porter à 14 semaines de grossesse. Le motif en est que 3 000 à 5 000 femmes se rendent chaque année à l’étranger pour y subir volontairement une interruption de leur grossesse au-delà des délais autorisés en France dans l’illégalité.

La proposition de loi prévoit également la suppression de la clause de conscience spécifique à l’IVG qui permet aux médecins et aux sages-femmes de refuser de pratiquer un tel acte et, dans le même temps, autorise les sages-femmes à pratiquer des IVG chirurgicales jusqu’à la 10esemaine de grossesse. Il s’agit, cette fois, de faire face au manque de médecins qu’a pourtant déclenché l’usage de numeri clausi beaucoup trop restrictifs au cours des trente dernières années au sein des Facultés de médecine françaises. Il s’agit, enfin, de supprimer le délai obligatoire de réflexion de deux jours avant de confirmer une demande d’avortement.

L’intelligence n’est pas quelque chose de tout à fait, et totalement fréquent dans l’espèce humaine.
Il suffit de regarder par exemple comment la majorité des peuples suivent toujours la pensée ambiante du moment, quelque soit l’idéologie que l’on donne. Exemple dans les années 50, le grand DOGM était le freudisme en faculté de psychologie, est maintenant puisque le freudisme est soit disant dépassé, c’est le grand DOGM qui s’impose c’est le dogme qui s’inverse. C’est savoir que le rapport du père à la mère qui s’impose qui est quelque chose de culturel, la distinction des sexes est structuré par l’éducation que donc la distinction des sexes n’a rien de réel et de biologique, ce qui est répandu de plus en plus dans les universités. Et on constate par un mécanisme de terrorisme intellectuel et bien l’idéologie dominante passe et s’impose même celui qui n’est pas en accord met sa carrière professionnelle en péril par un mécanisme de terreur, de pression, on arrive à adhérer les peuples à n’importe quelle idéologie, tout à l’inverse de tout.

ALETEIA

Le projet de loi bioéthique est examiné en deuxième lecture par la commission spéciale du Sénat ce mardi 19 janvier. Le texte que les sénateurs vont étudier a bien changé depuis la première lecture. En pire ?

Remanié, enrichi, dévoyé, bouleversé… Les qualificatifs pour définir le projet de loi bioéthique examiné par la commission spéciale du Sénat dès ce mardi 19 janvier et en séance dès le 2 février sont nombreux. Si la mesure phare du texte – l’ouverture de la PMA aux couples de femmes et aux femmes seules – a été votée par l’Assemblée nationale et par le Sénat en première lecture, d’autres mesures ont été écartées ou ajoutées. Voici les principaux points que comporte le texte qui arrive au Sénat.

Bioéthique : le texte qui arrive au Sénat a bien changé

Le Sénat, à Paris, le 11 juin 2019.

Le projet de loi bioéthique est examiné en deuxième lecture par la commission spéciale du Sénat ce mardi 19 janvier. Le texte que les sénateurs vont étudier a bien changé depuis la première lecture. En pire ?

Remanié, enrichi, dévoyé, bouleversé… Les qualificatifs pour définir le projet de loi bioéthique examiné par la commission spéciale du Sénat dès ce mardi 19 janvier et en séance dès le 2 février sont nombreux. Si la mesure phare du texte – l’ouverture de la PMA aux couples de femmes et aux femmes seules – a été votée par l’Assemblée nationale et par le Sénat en première lecture, d’autres mesures ont été écartées ou ajoutées. Voici les principaux points que comporte le texte qui arrive au Sénat.

OUVERTURE DE LA PMA

L’ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples de femmes et aux femmes seules a toujours fait partie du texte. Elle a été votée en première et en deuxième lecture cet été par les députés. Ces derniers ont néanmoins rejeté l’amendement autorisant le dispositif ROPA (dont d’ovocytes au sein d’un couple de femmes) qui avait été ajouté au texte par la commission spéciale au début du mois de juillet 2020. Ils ont à l’inverse réintégré le remboursement de la PMA pour toutes par la Sécurité sociale (qui avait été limité par le Sénat en première lecture aux cas d’infertilité). La PMA post-mortem, avec les gamètes d’un conjoint décédé ainsi que l’ouverture de la PMA aux hommes transgenres, ont été rejetées et ne font donc pas partie du texte qui arrive au Sénat ce mardi.

Bioéthique : le texte qui arrive au Sénat a bien changé

Le projet de loi bioéthique est examiné en deuxième lecture par la commission spéciale du Sénat ce mardi 19 janvier. Le texte que les sénateurs vont étudier a bien changé depuis la première lecture. En pire ?

Remanié, enrichi, dévoyé, bouleversé… Les qualificatifs pour définir le projet de loi bioéthique examiné par la commission spéciale du Sénat dès ce mardi 19 janvier et en séance dès le 2 février sont nombreux. Si la mesure phare du texte – l’ouverture de la PMA aux couples de femmes et aux femmes seules – a été votée par l’Assemblée nationale et par le Sénat en première lecture, d’autres mesures ont été écartées ou ajoutées. Voici les principaux points que comporte le texte qui arrive au Sénat.

OUVERTURE DE LA PMA

L’ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples de femmes et aux femmes seules a toujours fait partie du texte. Elle a été votée en première et en deuxième lecture cet été par les députés. Ces derniers ont néanmoins rejeté l’amendement autorisant le dispositif ROPA (dont d’ovocytes au sein d’un couple de femmes) qui avait été ajouté au texte par la commission spéciale au début du mois de juillet 2020. Ils ont à l’inverse réintégré le remboursement de la PMA pour toutes par la Sécurité sociale (qui avait été limité par le Sénat en première lecture aux cas d’infertilité). La PMA post-mortem, avec les gamètes d’un conjoint décédé ainsi que l’ouverture de la PMA aux hommes transgenres, ont été rejetées et ne font donc pas partie du texte qui arrive au Sénat ce mardi.

Lire aussi :PMA : à l’Assemblée nationale, « une semaine tout simplement lunaire »

FILIATION

Sur la question de la filiation après une PMA, les sénateurs avaient privilégié en première lecture l’adoption pour sécuriser juridiquement l’acte. Une mesure balayée en deuxième lecture par l’Assemblée nationale qui a voté pour une reconnaissance conjointe devant notaire. Le texte prévoit ainsi que les couples de femmes devront passer par une reconnaissance anticipée de l’enfant devant notaire. La filiation sera établie à l’égard de la femme qui a accouché via sa désignation dans l’acte de naissance, tandis que celle qui n’a pas porté le bébé le sera par la reconnaissance conjointe.

DIAGNOSTIC PRÉIMPLANTATOIRE

L’extension du diagnostic préimplantatoire à la recherche d’aneuploïdies (DPI-A) – dont la trisomie 21 – avait été ajoutée dans le texte par la commission spéciale de l’Assemblée avant les débats dans l’hémicycle fin juillet 2020. Accusée de conduire à un « tri des embryons », elle n’a pas finalement pas été votée par les députés en deuxième lecture et ne fait donc pas partie du texte.

RECHERCHE SUR L’EMBRYON

Les députés ont voté en faveur de la levée de l’obligation de la demande d’autorisation pour les chercheurs voulant utiliser des cellules-souches embryonnaires. Sur le vertigineux sujet des embryons chimères, l’Assemblée nationale a de nouveau autorisé l’insertion de cellules humaines dans des embryons d’animaux à des fins de recherche, remaniant ainsi la copie des sénateurs en première lecture. Concernant le délai maximal de culture des embryons in vitro pour la recherche, les sénateurs avaient étendu cette limite « à titre dérogatoire » à 21 jours, contre 7 aujourd’hui. L’Assemblée l’a fixé à 14 jours.

Bioéthique : le texte qui arrive au Sénat a bien changé

Le Sénat, à Paris, le 11 juin 2019.

Agnès Pinard Legry – Publié le 18/01/21

Le projet de loi bioéthique est examiné en deuxième lecture par la commission spéciale du Sénat ce mardi 19 janvier. Le texte que les sénateurs vont étudier a bien changé depuis la première lecture. En pire ?

Remanié, enrichi, dévoyé, bouleversé… Les qualificatifs pour définir le projet de loi bioéthique examiné par la commission spéciale du Sénat dès ce mardi 19 janvier et en séance dès le 2 février sont nombreux. Si la mesure phare du texte – l’ouverture de la PMA aux couples de femmes et aux femmes seules – a été votée par l’Assemblée nationale et par le Sénat en première lecture, d’autres mesures ont été écartées ou ajoutées. Voici les principaux points que comporte le texte qui arrive au Sénat.

OUVERTURE DE LA PMA

L’ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples de femmes et aux femmes seules a toujours fait partie du texte. Elle a été votée en première et en deuxième lecture cet été par les députés. Ces derniers ont néanmoins rejeté l’amendement autorisant le dispositif ROPA (dont d’ovocytes au sein d’un couple de femmes) qui avait été ajouté au texte par la commission spéciale au début du mois de juillet 2020. Ils ont à l’inverse réintégré le remboursement de la PMA pour toutes par la Sécurité sociale (qui avait été limité par le Sénat en première lecture aux cas d’infertilité). La PMA post-mortem, avec les gamètes d’un conjoint décédé ainsi que l’ouverture de la PMA aux hommes transgenres, ont été rejetées et ne font donc pas partie du texte qui arrive au Sénat ce mardi.

Lire aussi :PMA : à l’Assemblée nationale, « une semaine tout simplement lunaire »

FILIATION

Sur la question de la filiation après une PMA, les sénateurs avaient privilégié en première lecture l’adoption pour sécuriser juridiquement l’acte. Une mesure balayée en deuxième lecture par l’Assemblée nationale qui a voté pour une reconnaissance conjointe devant notaire. Le texte prévoit ainsi que les couples de femmes devront passer par une reconnaissance anticipée de l’enfant devant notaire. La filiation sera établie à l’égard de la femme qui a accouché via sa désignation dans l’acte de naissance, tandis que celle qui n’a pas porté le bébé le sera par la reconnaissance conjointe. 

DIAGNOSTIC PRÉIMPLANTATOIRE

L’extension du diagnostic préimplantatoire à la recherche d’aneuploïdies (DPI-A) – dont la trisomie 21 – avait été ajoutée dans le texte par la commission spéciale de l’Assemblée avant les débats dans l’hémicycle fin juillet 2020. Accusée de conduire à un « tri des embryons », elle n’a pas finalement pas été votée par les députés en deuxième lecture et ne fait donc pas partie du texte.

Lire aussi :Bioéthique : les évêques invitent à quatre vendredis de jeûne et de prière

RECHERCHE SUR L’EMBRYON

Les députés ont voté en faveur de la levée de l’obligation de la demande d’autorisation pour les chercheurs voulant utiliser des cellules-souches embryonnaires. Sur le vertigineux sujet des embryons chimères, l’Assemblée nationale a de nouveau autorisé l’insertion de cellules humaines dans des embryons d’animaux à des fins de recherche, remaniant ainsi la copie des sénateurs en première lecture. Concernant le délai maximal de culture des embryons in vitro pour la recherche, les sénateurs avaient étendu cette limite « à titre dérogatoire » à 21 jours, contre 7 aujourd’hui. L’Assemblée l’a fixé à 14 jours.

Lire aussi :« Arrêter une vie n’est pas une solution à la détresse psychosociale »

AVORTEMENT POUR DÉTRESSE PSYCHOSOCIALE

L’Assemblée a adopté, dans le cadre du projet de loi bioéthique, un amendement ajoutant aux motifs autorisant une interruption médicale de grossesse (IMG) jusqu’au 9e mois la « détresse psychosociale ». Cette disposition « fait exploser l’encadrement de l’avortement en ajoutant le critère invérifiable de “détresse psychosociale” pour recourir à l’interruption médicale de grossesse (IMG), jusqu’au terme de la grossesse », avait dénoncé dès juillet 2020 l’association Alliance Vita, membre du collectif « Marchons enfants ! », opposé au projet de loi bioéthique. « La condition des femmes enceintes faisant face à une détresse mérite toute l’attention de la société. Mais l’histoire a montré que, la notion de détresse étant difficile à objectiver, elle était utilisée pour détourner la loi ».